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([span style=\'font-size:14pt;line-height:100%\']Marne la Vallée, le 17 novembre 2003[/span]), Euro Disney S.C.A., société d'exploitation de Disneyland Resort Paris, a présenté aujourd'hui ses résultats consolidés de l'exercice clos de 30 septembre 2003.

Le chiffre d'affaires est en baisse de 2,1% pour s'établir à 1 053,1 millions d'euros. La diminution du chiffre d'affaires traduit l'effet combiné des difficultés durables rencontrées par les industries du voyage et du tourisme en Europe, des mouvements sociaux et grèves intervenus en cours d'année en France ainsi que d'une conjecture économique défavorable sur les principaux marchés du Groupe, partiellement compensés par l'impact d'une année complète de chiffre d'affaires pour le parc Walt Disney Studios.

En excluant l'impact du changement de méthode comptable relatif aux provisions pour grosses réparations présenté ci-après (le "Changement de méthode"), la marge opéraationnelle (résultat avant loyers de cédit bail, charges financières nettes et éléments exceptionnels) de l'exercice 2003 est en baisse de 18,6% à 143,0 million d'euros et la perte nette augmente de 33,1 millions d'euros.

Après changement comptable, la marge opérationnelle diminue de 24,6% à 132,4 millions d'euros contre 175,7 millions d'euros au titre de l'exercice précedent. Après loyers de crédit-bail, charges financières nettes et éléments exceptionnels, la perte nette du Groupe s'établit à 56,0 millions d'euros.

L'accroissement de cette perte traduit un chiffre d'affaire décevants, des charges d'exploitation directes en hausse en raison d'une année complète d'exploitation du Parc Walt Disney Studions, et la progression des dépenses média durant le premier semestre, partiellement compensés par la baisse des redevances de licence et de la rémunération du gérant suite à la renonciation à ces redevances consentie par The Walt Disney Company ("TWDC") pour les trois derniers trimestres de l'exercice 2003.

[span style=\'font-size:14pt;line-height:100%\']indicateurs clés de l'activité[/span][/u] (exercices clos le 30 septembre)
Visiteurs des Parcs à thème en millions (comprends le parc Disneyland et depuis le 16 mars 2002, le parc Walt Disney Studios) :

- 2003 : 12.4                    2002 : 13,1

Dépenses par visiteur des parcs à thèmes en euros (Montants HT moyens par our, comprnenant le prix d'entrée et les dépenses en restauration et marchandises dans les parcs à thèmes)

- 2003 : 40.7                     2002 : 40.1

Taux d'occupation des Hotels (Nombre de chambres occupées par jour en pourcentage du nombre de chambres total (soit environ 5800 chambres)

- 2003 : 85.1%                 2002 : 88.2%

Dépenses Totales par chambre en euros (montants HT moyens par jours, comprenant le prix de la chambre et les dépenses en restauration et marchandise dans les hotels)

- 2003 : 18305                  2002 : 175.1

:arrow:  [span style=\'font-size:21pt;line-height:100%\']DIMINUTION DE 1.8 % DU CHIFFRE D'AFFAIRES DES ACTIVITES TOURISTIQUES DE  1 048.7 MILLIONS D'EUROS A 1 029.5 MILLIONS D'EUROS.[/span]

Le chiffre d'affaires des Parcs à Thèmes baisse de 3.3 % à 508.5 millions d'euros contre 526,0 millions d'

André Lacroix: «des mesures concrètes et fortes» pour Euro Disney (TROIS QUESTIONS A) PARIS, 17 nov (AFP) - Le Pdg d’Euro Disney s’est refusé lundi à toute prévision pour 2004 mais a fait état de  «mesures concrètes et fortes» pour relancer l’activité du groupe, confronté à la fois à de mauvais résultats financiers et à des problèmes de dette.
   Q: Face aux difficultés actuelles d’Euro Disney, quand pensez-vous pouvoir renouer avec des résultats positifs?   R: «Je ne fais pas de prévisions comme cela. On parlera des résultats quand ils seront connus. Ce que je peux vous dire c’est que nous avons pris des mesures concrètes et fortes pour relancer la  demande et la croissance, et que nous tablons sur une reprise au deuxièmes semestre 2004».
   Q: Pouvez-vous nous en dire plus sur la renégociation de votre dette financière?   R: «Nous travaillons avec tous les partenaires bancaires et les actionnaires pour trouver une solution de restructuration qui apporte des solutions satisfaisantes à toutes les parties prenantes et sur le long  terme. Aujourd’hui, on ne peut pas en dire plus, c’est cela la difficulté. Mais nous n’avons pas attendu d’avoir réglé cette question pour relancer l’activité, et il faut distinguer les deux aspects».
   Q: Est-ce qu’il n’y a pas tout de même un problème de produit, notamment avec le parc Disney Studios qui semble peu se renouveler, même si vous ne distinguer pas les entrées des deux parcs ?   R: «Il faut se placer dans une logique de +resort+, qui est d’avoir plus de capacité hôtelière pour augmenter le nombre de visiteurs et la durée des séjours. 60% des visiteurs passent d’un parc à l’autre en  toute liberté. Nous avons une offre destinée à la fois aux nouveaux visiteurs et à ceux qui sont déjà venus. Quant aux indices de satisfaction, ils sont exccellents».
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La phrase dont je parle, c'est évidemment la dernière, avec le "ce qui compte, c'est le resort et la capacité hôtelière". On nous refait le coup de l'année dernière: ce sont les hôtels qui vont faire venir plus de gens. ce qui est con, c'est qu'ils ont ouvert 1200 chambres dans des hôtels merdiques qui n'ont rien à voir avec Disney et que leur taux d'occupation a baissé!
Eh, André Lacroix, c'est pas par une amélioration des parcs que la durée de visite augmentera?

ils ont vendu des bungalows du ranch et ils les louent maintenant ?  

quel interet la dedans ?

en résumé