[Parc Astérix] 08.05.16

Démarré par raziel188, 11 Mai 2016, 18:15:32

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raziel188

Hello parkfans lecteurs / lectrices.

Un TR de plus pour les aventures de notre fine équipe. Cette fois-ci, nous découvrons le Parc Astérix.
Comme toujours Les commentaires, questions et remarques sont les bienvenus !

Bonne lecture à vous :)



Pour commencer notre 6ième saison de nos visites parc-o-nautique, nous avons choisi de découvrir un parc pas trop loin, et que personne n'a déjà visité, enfin du moins, pas récemment.

Notre destination, le Parc Astérix.

C'est donc au petit matin de ce dimanche 08 mai que nous prenons la route pour Plailly. Après 3h de route, comprenant un arrêt petit dej' et retrouvailles des non-bruxellois ainsi qu'un contrôle en bonne et due forme par la Gendarmerie française au péage non loin de la frontière (heh, trois barbares et une barbaresse dans une petite voiture immatriculée en Belgique, c'était à prévoir), nous arrivons à l'un des parkings du parc vers 10h20.

Comme quoi, cela ne nous a pas fait de mal de prévoir une petite rallonge de temps en plus suite à la menace des camionneurs de bloquer les frontières (ils sont du genre à penser qu'emmer*** le peuple fera plier le gouvernement, comme c'est mignon).
         
Bref, le temps de répartir les effets personnels dans nos sacs, nous passons le contrôle des sacs et détecteurs de métaux, puis les tourniquets d'entrée et nous y voilà, au pays du plus célèbre des Gaulois.   

      
C'est tout joli, puis y a même Manneken Pis qui nous a accompagné

Comme nous sommes plus ou moins tous des first timers dans ce parc, la première chose faite (en dehors de la visite des toilettes... 3h de route quand même !) fut de choper un plan, l'ouvrir et nous regarder en se disant : « Eeet... on commence par quoi ? »

Nous aurions pu faire la technique classique du « on fait le tour et on teste ce qui nous tombe sous la main », technique utilisée et approuvée lors de nos précédentes visites, mais il y a un petit loup qui nous a fait de l'œil depuis la bretelle d'autoroute.

Il est grand, il est fort, il est beau, et il sent bon le sable chaud. Et non, ce n'est pas un légionnaire mais magicien Egyptien qui souhaite nous transformer en sanglochon (sanglier, pardon, déformation culturelle). C'est notre ami Oziris.

Notre petite balade vers l'Égypte nous fait découvrir la Gaule qui, pour notre plus grand plaisir et au grand dam de l'un d'entre nous, propose deux attractions aquatiques (Le Grand Splash et Menhir Express).

Que seraient les romains sans colisée
     
      
C'est pas faux, il y a bien un grand splash inclus dans l'histoire
Une hutte massive qui semble pleine à craquer... Logique par cette chaleur

Nous passons également devant La Trace du Hourra, il s'agit de quelque chose semblable à Schweizer Bobbahn d'Europa Park, et les avis étaient « c'est sympa, mais pas l'extase non plus ». Bref, pas de quoi nous ruer dessus, même si habituellement je ne commence pas par les must, afin de garder l'hypothétique meilleur pour la fin. J'ai 'choisi' de ne pas dicter la journée et de découvrir le parc, comme mes ami(e)s le font quand nous allons dans un parc que je connais déjà. Donc je suis l'avis du groupe.

Oh, je n'avais pas remarqué que le layout se trouvait sur la peau à droite de l'arche

Après 200 m (précision pour une private joke), nous arrivons finalement en Égypte, et plus précisément sur la place du palais d'Oziris. La main street avait déjà donné le ton, tout comme notre passage en Gaule : les décors du parc sont soignés, entretenus, bourrés de petites blagues (beaucoup de jeux de mots dignes de la BD), ... Ils sont simplement magnifiques.

   
Je ne suis jamais allé en Égypte, mais si c'est aussi beau et avec un B&M en prime, j'y songerai sérieusement

Ça ne se voit pas très bien sur les photos, mais en plus des décors, il y a aussi une ambiance sonore un peu partout dans le parc (en fonction des attractions et zones), et si parfois ça ne fait pas trop « Astérix », c'est agréable et met souvent de bon humeur (le genre de musique entrainante, où n'importe qui peut (inconsciemment) se mettre à se trémousser).

Y a rien à faire, mais pour moi les B&M ont toujours un côté photogénique phénoménal, surtout quand le parc l'intègre en son sein (oui, je pointe du doigt les Parking Lot Coaster de Six Flags ou autres). Puis pour le plaisir de mon gsm, la file en plein air est vide, donc je vais pouvoir mitrailler la belle bête.

      
      
Miam, miam, miam !

Pour ceux qui connaissent, la file commencera sous les tentes, avec une durée annoncée de 30 min, quelque chose comme ça. Il fait super beau, c'est un long week-end, nous nous attendions à avoir un parc plein et étions résigné (et 30 min, ce n'est pas la mer à boire).

   
Nous te voyons, et abandonner est hors de question

La partie intérieure est superbe et propre, mais probablement pour garder (assumer) le lien avec la BD (c'est tout un honneur pour le parc, et un style intéressant), la déco semble moins rentrer dans la finesse du détail comme nous avons pu le voir dans les files de Wodan (Europa Park) ou encore de De Vliegende Hollander (Efteling). Ce n'est pas un reproche, je pense que c'est voulu, puis en revenant sur l'attraction en fin de journée, nous découvrirons pleins de petits trucs que nous n'avions pas vu lors de notre premier passage.

   
Allez, c'est beau quand même, non ?

Au sommet de l'escalier, nous entrons dans la dernière sale, et le premier 'détail' qui nous frappe, c'est que l'acoustique est horrible dans cette pièce et que ça doit être éprouvant pour les opérateurs. Non seulement il y a la bande son de l'attraction, mais aussi les guests qui soit gueulent comme des arrachés depuis le train, soit qui parlent fort pour s'entendre malgré la bande son (bon ok, il y a un peu de jalousie, j'étais déjà à 50% aphone :( ).

Belle ambiance visuelle, mais éprouvant pour les tympans

Nous découvrons que la politique du parc est l'efficacité au détriment de la liberté des visiteurs, et nous nous retrouvons en fin de train pour notre première dose de sensations fortes de la journée. Cela dit, peut-être que si nous avions demandé, nous aurions pu aller autre part (ou faire la file Front Row).

En attendant notre tour, j'observe les opérateurs et bon sang qu'ils sont efficaces ! A peine le planché relevé sous le train que les petits gars courent entre les rangs pour décrocheter les ceintures des passagers ne l'ayant pas déjà fait. Et quand je dis courir, c'est vraiment courir !!
De plus, pas question de laisser des sièges vides dans le train, que ce soit en cherchant dans la file principale, soit via les Single Riders ou les possesseurs du Pass Rapidus


Oziris

Faisons une infraction aux lois régissant l'espace-temps en faisant un bond de 6h en avant, parce que je pense que l'expérience Oziris se fait en Front Row (et que décrire le ride en fin de TR alors que je commence avec celui-ci, ça me semble un peu idiot). Bah oui, faut reconnaitre que dans les rangées 2 et plus, on ne voit pas grand-chose si ce n'est le 'mur' des sièges devant nous.

Nous le savons déjà, la hauteur ne fait pas tout, et du haut de ses 35m (bon ce n'est pas rien non plus), Oziris représente bien cet adage, surtout avec sa first drop sinueuse, qui offre une vue directe sur le sol au moment où la queue du train se dit « aller, on envoie la purée » et que nous nous retrouvons plaqués dans nos sièges.

Habituellement, je suis plutôt du genre à préférer le timing des accélérations de la fin du train, mais ici, j'ai l'impression que le circuit a été conçu pour que ceux-ci deviennent intéressants à l'avant. De cette manière, nous attaquons le Diving Loop et le Vertical Loop avec une poussée de dingue, de même dans la déroutante section droite entre le Vertical Loop et l'Immelmann. En deux mots, c'est jouissif.

Le parcours offre un peu de répit avant de plonger dans les fausses aux crocos devant le palais, pour ressortir via un Zero-g qui me semble légèrement étiré par rapport aux Zero-g traditionnels.

Un trois quarts de tour plus tard, et nous replongeons pour la photo et BAM, second Zero-g bien intense (plus traditionnel celui-là).

Arrive ensuite la dose de G finale dans l'hélice montante qui longe la file d'attente, et nous arrivons dans les freins finaux.             

Malheureusement, mon historique d'Inverted B&M est constitué principalement de clones B:TR, le modèle qui semble être – et je le pense aussi – le plus intense dans sa catégorie. De ce fait, ce premier tour me fait dire qu'Oziris est très bon, mais qu'il est un cran en dessous du rush d'intensité qu'on se prend en pleine tronche dans un B:TR.
Cela dit, c'est clairement le must du parc, et je pense qu'il n'a pas non plus à rougir sur la scène internationale. De plus, quel bonheur de ne pas avoir de Trim actif ou de MCBR !


Un échantillon supplémentaire de ce qui fait qu'Oziris est un pur bonheur

Bon, c'est pas tout ça, mais il nous reste quand même tout un parc à visiter.

Comme je le soulignais un peu plus tôt, ce parc regorge d'attractions aquatiques, et vu le beau temps, il serait dommage de ne pas en profiter, même si les files risquent d'être conséquentes (bah oui, nous n'avons pas le monopole des bonnes idées).

Nous commençons notre tour du parc en partant pour la zone A travers le temps, zone ayant un drôle de nom maintenant que je le découvre (mais qui explique peut-être bien la théma qui s'y trouve). Première halte, l'Oxygénarium.

   
Oh, un toboggan rempli d'Instanet qui se balade dans la forêt et OH MON DIEU ! UN B&M SAUVAGE VIENT D'APPARAITRE !

   
De biens grosses bouées pour avaler la petite file d'attende en peu de temps


Oxygénarium

Je connaissais le style d'attraction car en son temps Bobbejaanland possédait une attraction de ce genre (Bobby Drop) et que j'ai eu l'occasion de tester (avec Joachim et MilBanderas) avant qu'elle ne disparaisse du parc.

Pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore ce genre d'attraction, c'est une descente d'un long toboggan parsemé de virages à bord d'une bouée géante, avec une probabilité non négligeable de se prendre une vague en pleine poire en fin de la glissade.

Le truc cool, c'est que les bouées sont suffisamment larges que pour accueillir notre petit groupe. L'inconvénient, c'est que nous sommes des adultes avec des tailles d'adultes (bon pour le mental d'adulte, il faut voir au cas par cas), et que donc tous le trajet a été ponctué de coups de genoux à cause de la promiscuité.

En ce qui concerne l'attraction, il ne faut pas beaucoup de temps pour comprendre la légitimité des poignées dans les bouées, ainsi que les parties relevées dans les virages. La vitesse prise ne doit pas être vertigineuse au compteur, mais elle est suffisante pour faire grimper la bouée dans les virages, et les dalles de caoutchouc placées sur le long du toboggan assurent que la bouée tourne à plein pot pendant une bonne partie de la descente.

Nous terminons notre voyage relativement (pour ne pas dire intégralement) sec, mais qu'à cela ne tienne, il y a d'autres attractions qui devraient fournir la gerbe d'eau tant recherchée.


Continuons notre petit bonhomme de chemin à travers la zone A travers le temps (je vous l'avais dit que ce nom était bizarre), qui est étonnamment déserte point de vue affluence à un point tel que lorsque nous passons dans la partie Indoor, nous nous sommes demandé si nous n'étions pas dans un cul de sac ou quelque chose du genre.

   
Euh... oui... enfin... pourquoi pas... puis ils ont une bonne bouille les éléphants et les rhinos

   
On n'en est pas encore aux villes fantômes type western avec les broussailles qui passent pour souligner le fait que ce soit abandonné, mais c'est plutôt vide

Je dois être le seul imbécile couillon qui prend photo du dos de ces deux tours

Un monstre d'acier se profile devant nous, mais nous sommes d'abord intrigué par le monstre derrière nous, principalement parce que ça aurait été une belle entrée d'attraction, mais qu'il s'agit en fait de la sortie !
Sérieusement, entre nous, si on sort par la bouche du monstre, ça sous-entend lourdement qu'on y rentre par le derg', non ? Enfin moi j'dis ça...

Ou alors c'est effectivement son tarch'... et ça soulève de sérieuses question quant à sa tronche !


Transdémonium

Contrairement à l'attraction, mon avis (et  celui du groupe) ira très vite : pas intéressant, et dans notre cas, perte de temps !

C'est bien simple, la première demi-heure du trajet, je l'ai passée à discuter des pubs pour les cigarettes électroniques avec mon pote (et on ne fume même pas), et l'autre demi-heure nous l'avons passée à nous demander de quoi nous pouvions discuter pour tuer le temps.

Pour les plus jeunes, je dis pas. Les décors sont bien foutus et il doit y avoir moyen qu'ils se fassent surprendre voir qu'ils en aient les chocottes, mais pour nous... De plus, point de vue décors, n'ayez pas la mauvaise idée de lever les yeux car c'est la désillusion totale : des taules et des poutres. D'ailleurs c'était le cas aussi dans la partie Indoor du trajet entre l'Oxygénarium et le Transdémonium. Dommage.


Malheureusement, la déconfiture de notre visite se prolongera sur les deux attractions à venir. Le plus fou, c'est que nous savions très bien ce qui nous attendait (de part ce que j'ai lu en long et large sur les attractions incriminées), mais la curiosité (qui a dit connerie ?) a pris le dessus et nous a fait mettre les pieds dans... Goudurix et Tonnerre de Zeus.

Brrrrr, rien que de le voir j'ai la colonne et la tête qui souffrent

La route vers l'enfer est pavée d'or et de sang, et non de bonnes intentions. Cela dit, c'est une des zones les plus agréables de l'attraction


Goudurix

Alors, pour les chanceux qui n'ont pas encore eu le trait de génie de s'infliger cette torture, voici le compte rendu le plus fidèle au monde de cette attraction (de façon romancée).

Une fois rempli d'intrépides voyageurs inconscients, le train au confort soviétique s'engage doucement sur la remontée mécanique. Le claquement de l'anti-rollback raisonne dans tout le parc, tel le bruit de pas des condamnés que l'on envoie se faire zigouiller.

Le sommet apparait enfin, et les regrets inondent les esprits des victimes pris au piège de ce qui s'annonce être un terrible destin.

Le train se désengage, il prend doucement de la vitesse et effectue le demi-tour qui termine l'incantation qui permet l'ouverture de la porte des enfers. Le rituel satanique terminé, le train plonge, entrainant tous ses passagers dans un monde de douleurs et de souffrances.

[Les scènes suivantes ont été censurées pour raison de violence extrême, gore et ultra vulgarité]

L'espoir revient aux malheureux, ils voient la lumière percer le ciel noir du domaine de Lucifer lorsque le train décide de faire une pause dans sa course à la torture lors du passage sur une section droite ainsi que dans le Vertical Loop qui trône au milieu de cette dernière.

Mais les forces du mal sont plus tenaces, elles vivent du sang des curieux qui osent s'aventurer aux frontières des ténèbres. La fin est encore loin.
           
[Les scènes suivantes ont été censurées pour raison de violence extrême, gore et ultra vulgarité]

Si toutes les bonnes choses ont une fin, il est bon de nous rappeler que les horribles choses en ont aussi, et ce ne sont pas les damnés occupés à compter leurs bleus qui contrediront cette idée.


Fin

(ouais je sais, je suis plus que médiocre comme romancier)

Je comprends que le parc souhaite conserver cet icône un max de temps, parce qu'il faut admettre qu'il en impose visuellement parlant (bon ce n'est pas encore du niveau d'un B&M). Mais je ne pense pas qu'il existe encore beaucoup de visiteurs qui en sortiraient en disant « Woaw, c'était cool et agréable, faisons encore un tour là, maintenant, tout de suite ».

Si c'était vraiment pire avant le retracking partiel, je suis sincèrement navré pour toutes les personnes ayant dû subir une telle atrocité.

Les victimes qui comptent leurs bleus, et remercient le ciel d'être dans la troisième zone non-désagréable du circuit

Aussi dingue que cela puisse paraitre, le Vertical Loop là derrière est amplement supportable... Probablement par comparaison au « reste »


Eloignons nous un instant des enfers, et flânons le long du lac, le temps de faire un break sanitaire, d'admirer le point de vue, et de nous préparer mentalement à l'idée que la suite directe du programme c'est le Tonnerre de Zeus.

   
Belle vue, et y a même moyen de faire du Zorbing aquatique

   
A droite, la nouveauté de 2016 (régale pour les yeux), et à gauche OH MON DIEU ! LES PORTES DES ENFERS SONT TOUJOURS OUVERTES !


J'avais lu le coup de gueule concernant nos amis (c'est sarcastique) fumeurs, et si nous en avions déjà croisé quelques-uns dans le parc, c'est ici (file du Tonnerre de Zeus) que nous croiserons notre première co**asse qui pense être au-dessus des réglementations, ne peut s'empêcher de sortir sa clope et de nous faire partager la douce fumée de cette dernière. Dommage que je n'ai pas réussi à la prendre en photo juste sous un des nombreux panneaux stipulant qu'il est interdit de fumer dans les files, parce ce genre d'ironie – après coup – ça me fait rire. Ça démontre aussi que le texte disant que les gens vu par les caméras seront sermonnés (ou plus) n'est pas forcément d'application. Re-dommage, ça aurait été mon petit guilty pleasure de la voir se faire avoir par la sécurité du parc.     

Avec des yeux pareils, il doit boire ce qu'il nous reste d'âme après Goudurix

Parce que nous sommes tous une bande de gros dégueulasses

Le bois sous sa forme naturelle et sous sa forme engin de torture


Tonnerre de Zeus

A l'arrêt, les trains sont très confortables, et j'aurais préféré que cela reste ainsi. Dans le lift, nous remarquons deux choses :

  • Le layout est original avec le lift qui se trouve au milieu du parcours et qui est de plus perpendiculaire à celui-ci, chose que nous n'avions pas encore vu jusque-là,
  • Le parcours va être long, très très long.

Une fois que le train s'engouffre dans le tunnel en bas de la première descente, qui de son côté est sympathique, c'est le même scénar que Goudurix avec les portes de l'enfer, la douleur, tout ça, mais en version bois.

En gros, le confort des sièges disparait comme par enchantement, et ces derniers deviennent des sièges de torture détruisant le dos dans les sections droites, et explosant les côtes dans les virages. Et bien entendu, il y en a une chiée de virage !

Ajoutez à cela une lapbar qui se resserre constamment sur le trajet, de manière à bien vous défoncer les cuisses, et vous avez le portrait complet.

C'est sans surprise que nous passerons la moitié du tour à espérer que ce cauchemar éveillé se termine au plus vite, parce qu'il n'y avait aucun plaisir à tirer de cette expérience.

Allez, un point positif peut-être ? Il faut reconnaitre que c'est le genre de Wooden qui ne prend pas la peine de ralentir une fois lancé, jusqu'à ce qu'il arrive (enfin) aux freins finaux.

Le jour ou le parc se décide de faire fondre Goudurix pour le recycler, qu'ils n'hésitent pas à utiliser Tonnerre de Zeus pour le petit bois du feu.


Il doit être entre midi et 13h, l'appétit commence à se faire ressentir, mais nous ne pouvons pas rester sur une double mauvaise expérience pareille. Continuant notre tour, nous arrivons aux pieds de la nouveauté de cette année. Nous hésitons à faire la file parce qu'il commence quand même faire faim, mais depuis l'extérieur la file semble courte.

Seulement voilà, les petits filous du parc ont trouvé très drôle de faire une extension de cette file en contre bas, bien cachée derrière les bâtiments de la file / la station.  Ce n'est pas non plus un parc à bœuf, et nous avons choisi que l'appétit attendra.

D'ailleurs, en parlant de parc à bœufs, c'est chouette de voir que (presque ?) toutes les files évitent ce genre de géométrie où on fait 15000 allers-retours dans une même pièce. Je pense que psychologiquement ça aide à passer un bon moment même si il y a du peuple (ce qui n'était pas le cas lors de notre visite).

C'est pas bin grand, mais suffisant pour décorer un Disk'O. Et pour info la file secrète se trouve de l'autre côté du bâtiment 'en bois'

Un exemple de jeux de mots qui se trouvent dans le parc

Le cocktail nouveauté plus train unique fera que ce sera la file la plus longue de la journée, un peu plus de 30 minutes.


Discobelix

Nous étions quatre sur les six à avoir déjà testé Crazy Surfer (Movie Park), et nous en avions conclu que c'était très sympathique comme bouzin. De plus, la version du Parc Asterix est somptueuse, avec l'enrobage du rail et les effets de feu et d'eau (mais je maintiens que le nec-plus-ultra niveau théma, c'est celui de Plopsa).

Il n'y pas grand-chose à expliquer sur l'attraction je pense. Je soulignerai juste qu'il est préférable de ne pas se coller à fond sur le ventre lorsque la sécurité se place dans le dos, car elle peut devenir une gêne (il y a de la force dedans, et elle ne cesse de se resserrer si elle le peut, comme sur TDZ).


Guidé par nos estomacs, nous quittons la Grèce pour revenir non loin du point de départ de la journée, afin de réaliser notre pause restauration amplement méritée. Sur la route, nous croiserons La Rivière d'Elis qui est toute jolie et surement très apaisante, et Le Vol d'Icare qui tourne à vide qui n'éveille aucun engouement dans le groupe (nous sommes dirigés par la faim après tout).

Finalement toutes les attractions du genre sont soignées, et celle-ci ne déroge pas à la règle

Quel boucan ce truc, et y a même pas âme qui vive dedans !

Après un choix cornélien entre Pizza / pâtes / burger / autres, nous nous installons en terrasse aux Fastes de Rome, le long de Romus et Rapidus.

10 euros c'est pas donné pour de la victuaille, mais nous sommes dans un parc après tout, mais surtout il faut admettre que les burgers (oui, ce sont eux les grands gagnants de notre prise de décision) étaient bons, et de taille généreuse ! Et en ce qui me concerne, la salade, aussi simple soit-elle, était bien bonne également. En fin de compte, si ce n'est pas donné, c'est loin d'être du vol, et je recommanderais le resto pour les affamés de burgers.

   
La façade du resto et le Carrousel en face

   
Vue de la terrasse sur Romus et Rapidus

Normalement, il faut attendre 1h après avoir mangé, mais ayant été bercés par les clapotis de l'eau de Romus et Rapidus, il nous était impossible de ne pas y faire un tour dès à présent.


Romus et Rapidus

Il n'y a pas grand-chose à dire, c'est un raft ride comme à peu près tous les autres rafts rides. Et comme celui d'Europa Park, celui-ci possède le gêne de l'imprimante, à savoir que s'il y a quelqu'un qui n'est pas fan de ça dans une embarcation, c'est lui qui se prendra tout dans les dents.


Mouillés pour mouillés, enfin au moins pour l'un d'entre nous, autant en profiter pour enchainer les attractions aquatiques de la Gaule. Le premier sur notre route est le Grand Splash.

Il n'y a vraiment pas grand monde, et de la flotte partout alors que nous ne sommes pas encore dans les embarcations


Le Grand Splash           

J'avais envie de dire que le nom était un gros mensonge, mais il y a un grand splash à la drop finale, mais il ne mouille pas (ou alors j'étais mal placé).

C'est plutôt lors de la petite croisière dans la luxuriante nature que nous serons arrosés par les effets scénaristiques que l'on repère à 100 km à la ronde parce que le bateau passe sur une plateforme très suspicieuse (enfin pas pour tous les effets).


En toute logique nous devrions nous diriger vers Menhir Express pour terminer notre trio aquatique, mais notre attention se portera sur le bobsleigh qui n'est pour une fois pas thématisé sur le bobsleigh ou la Suisse (ouf, pas de musique tyrolienne !) : La Trace du Hourra.     


Pour celles et ceux qui en douteraient, il y a plein de virages dans un bobsleigh

   
Un peu de déco en plus de la nature, et dans un tout autre registre je n'avais jamais remarqué que les wagons sont scindés en deux


La Trace du Hourra

Schweizer Bobbahn (Europa Park) nous avait laissé un meilleur souvenir que Bob (Efteling) dans le monde des coasters type bobsleigh. Nous nous attendions ainsi à quelque chose de sympa, mais sans plus, avec quand même l'une ou l'autre accélération dans les diverses hélices qui jalonnent le parcours.
 
Cette itération est supérieure aux deux autres candidats. Le seul reproche qu'on pourrait lui faire, c'est le manque de douceur, comme si les roues n'étaient plus tout à fait rondes. Cela dit, dans mon cas et en tant que passager dans le fond du siège (on devait se mettre à deux par wagon malgré la file vide...), je n'ai pas trouvé les vibrations dérangeantes, limite ça faisait office de léger massage (mes sens doivent être détruits après Goudurix et TDZ...)


Lors de notre visite de l'Empire Romain, les glaces tournantes ont fait de l'œil à l'un d'entre nous, et nous décidons de faire une petite pause délice, le temps d'aller chercher un délice glacé, que nous pourrions déguster en faisant la file dans l'attraction suivante. Avec d'autres, j'en profiterai pour gouter le nouveau délire de Ben & Jerry, le bout de glace coincé entre deux cookies. Là pour le coup c'était du vol (4,5 euro), et je pense que Ben & Jerry est plus à blâmer que le parc (ça a toujours été une marque hors de prix). C'était bon, mais pas jouissif style le petit chef (les fans du JDG comprendront), et la quantité est limite limite.

Tant pis, nous n'aurons pas de quoi grignoter dans la file de Menhir Express. Espérons que ce ne soit pas aussi long que cela laisse présager.

   
Vue depuis la hutte massive

Heh, j'aimerais bien voir la taille du drone Amazonus qui livrera ce menhir


Menhir Express

Par principe, je dois balancer que l'un d'entre nous n'est pas venu.

Voilà, ça, c'est dit.

Quand ils ont dessiné le parcours de ce flume, le mot d'ordre devait être « y a pas intérêt à ce qu'il y ait une section en ligne droite en dehors des zones de splash et lifts », parce que ce n'est que virages gauches droites entre les lifts et chutes. C'est rigolo parce que ça nous fait prendre de l'eau dans les zones calmes, mais ça rend ces zones calmes plutôt douloureuses à cause des chocs.

La première chute est celle qui nous aura trempé, bien qu'elle ne soit pas bien haute et se fasse en deux temps (petite bosse avant de toucher l'eau). Le parcours continue, nous traversons un building dans lequel nous passons sous un tunnel de jets d'eau en espérant qu'aucun n'est dirigé directement sur le canal où nous naviguons.   

La seconde chute est vertigineuse car relativement haute et plutôt raide, mais le splash en bas de celle-ci est plutôt anecdotique vu que nous sommes déjà trempé(e)s après la première chute.
L'important c'est que ça nous a fait bien rire, surtout celui qui est resté de son côté bien au sec.


A présent, il est 16h du matin, il ne nous reste plus que 2 heures au parc, sachant qu'il nous faut encore 3h de route pour rentrer dans nos chez nous respectifs. La bonne nouvelle, c'est que nous avons fait tout ce que nous souhaitions faire, donc que nous pouvons faire du re-ride d'Oziris comme des porcs !

Par Oziris et par Apis, vous allez rider un B&M, tu vas rider un B&M... Comme s'il fallait nous hypnotiser pour ça

Ce n'est pas le plus visible depuis le sol, mais ce Zero-g est pour moi la meilleure inversion du parcours (les autres n'en sont pas moins bien pour autant, hein)

Gros point noir de l'attraction, cette statue est victime de cette mode ridicule du Duck Face

Nous enchainerons seulement deux tours de la bête, car nous exploiterons la file Front Row les deux fois (la file commune commençant au sarcophage).

Lors de notre dernier passage, un opérateur me demande poliment s'il n'y a pas de souci avec mes lunettes tout en vérifiant les harnais. Je lui réponds que non, cela fait notre troisième tour de la journée avec donc ça devrait aller. Il acquiesce en me disant qu'il m'avait reconnu à mon t-shirt (Sheikra de BGT), mais qu'il souhaitait quand même demander (ce qui est tout à son honneur).

Nous le savions déjà, mais là nous ne pouvions pas le garder sous silence : tous les opérateurs que nous avons croisés dans le parc sont d'une politesse phénoménale et d'une efficacité incroyable !

C'est décidé, avant de sortir d'Oziris nous remercierons l'opérateur, et indirectement l'ensemble du personnel du parc, et ce même si je suis complètement aphone. Il nous remercie et nous explique que si nous le pensons vraiment et si nous le souhaitons, nous pouvons passer à l'accueil du parc pour partager notre contentement, de manière à ce que les opérateurs reçoivent un feedback positif (ce qui doit toujours faire plaisir et motivé pour la suite).


Nous retournons tranquillement vers l'entrée du parc, où nous ferons un détour par l'accueil afin de passer notre message et signer le livre d'Or (et je me rends compte que j'ai oublié de signer, la honte), et nous nous retrouvons face à une inconnue de taille : où sont nos véhicules ?!

Pour ceux qui ne le savent pas, le parc possède différent parking « isolés » là où la plupart des parcs ont un parking géant subdivisé en zones indiquées par des images (voir les Simpsons à Itchy et Scratchy Land !).

Comme des champions, et parce que nous étions impatients de dompter Oziris, nous n'avions pas pris la peine de regarder dans quel parking nous étions, et rien ne ressemble plus à un parking qu'un autre parking... Heureusement, j'ai mon ticket de caisse du parking, et le numéro y est indiqué. Nous suivons les panneaux et arrivons ... dans le parking 1.

Grumbl...

Ce qui remonte le moral, c'est que nous sommes loin d'être les seuls à jouer à ce petit jeu, donc ça en devient presque un moment bon enfant.

En fait, le truc c'est que chaque division physique de parking est subdivisée en sous zones, donc le parking 5 est bien au même endroit que le parking 1, mais faut le savoir...

Nous reprenons la route vers le plat pays, et faisons une halte sur la place Aristide Briand de Cambrai, histoire de trouver une terrasse pour manger, mais aussi laisser couler les embouteillages suite à un crash sur notre route.

Et puis, ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de Burger King sur notre route que nous allons nous priver de notre traditionnel repas de fin d'aventure tous ensemble.

Très chouette endroit pour manger. Il y a plusieurs petits restos / bar, un Subway ( :bave: ), et surtout, le parking sur la place est gratos le dimanche !!

C'est sur cette note gastronomique que ce termine nos aventures, et ce premier TR de 2016 pour notre équipe.

 
Alors le Parc Astérix, ça nous dit quoi ?

Bien, alors même que nous en étions aux réservations de billets, il était difficile de ne pas se dire qu'ils ne se mouchent pas avec le dos de la cuillère avec un prix d'entrée « en promo précommande » de 39 euro. Surtout que s'ajoute à cela 10 euro de parking. Si on se limite à l'offre des attractions qui nous intéresse, c'est cher payé pour faire des tours d'Oziris. Quelque chose comme 40 euro incluant parking et entrée aurait été plus acceptable.

Puis y a aussi l'idée des péages qui gonflent la note commune de 55 euro... Mais c'est un effet collatéral du fait qu'en Belgique on paie via taxes et donc on a l'impression de rouler gratos.
Maintenant, il faut remettre les attractions dans leur contexte. Le parc est propre, les employés sont phénoménaux, les décors et attractions sont sérieusement entretenues, ... Tout ça a un prix, et tend à justifier les tarifs.

Je ne connais pas les affluences habituelles, mais nous avons eu de la chance pour une journée aussi ensoleillée et un dimanche, car les files n'ont jamais fortement dépassé les 30 minutes, avec une moyenne devant être aux alentours des 10 minutes et certaines attractions où nous étions directement sur le quai si pas directement dans le train sur le départ.

Niveau ambiance, j'adhère au côté fidèle à la bande dessinée, qui ne dérive pas dans le kitch dégueu comme ce fut le cas dans un parc italien dont je ne me souviens pas du nom (ok ils ne faisaient pas dans la BD, mais ils essayaient un truc cartoon qui était vraiment immonde). Il y a aussi toutes les petites notes d'humour font souvent rire (les bornes de foin sans plomb, les jeux de mots, etc, ...). Il y a juste que dans la zone entre l'Oxygénarium et Goudurix, je n'ai pas trop pigé le thème ni le lien avec les autres zones.

Pour moi, en tant que fan qui pense que tout le monde pense comme un fan et prend des décisions pour les fans, ils devraient investiguer l'idée de faire un retracking RMC sur Tonnerre de Zeus pour en faire un Iron TDZ vu le potentiel de fou qu'a le layout de base, et faire un Goudurix 2 en jartant le vieux Vekoma pour un bon gros B&M Sitdown / Floorless, de sorte à entretenir le myth et la présence visuelle qu'est cette attraction. Bon ils peuvent mettre un Flying ou une Dive Machine hein, ou chopper du Intamin, bref du lourd de qualité, mais j'essayais d'être un minimum raisonnable.
 
En résumé, c'est un très chouette parc à découvrir, surtout maintenant que la CDA commence enfin à se bouger le cul en investissant sérieusement dans le parc, mais dans lequel je ne retournerai pas directement. Probablement le temps qu'ils nous sortent une nouvelle merveille du calibre d'Oziris.
             


Merci aux courageux de m'avoir lu !
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Mario25

Très bon compte rendu. ;D

Ça me donne sérieusement envie de retester ce parc. Je l'ai déjà visité plusieurs fois mais durant la période où la descente du styx était fermée et où Oziris n'existait pas. :(

Mais après effectivement le prix du ticket d'entrée n'est pas donné. Certes, contrairement à d'autres parcs la thématisation est très poussée et soignée ce qui présente un énorme atout. Malheureusement côté coaster, à part Oziris c''est pas la joie. Si on continue sur l'argent effectivement le péage représente un coût non négligeable alors qu'en Belgique les autoroutes sont gratuites.

Je verrais bien si je me laisse tenter cet été par ce parc ou alors si je succombe à la nouveauté d'un certain parc Belge. :P
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xxxx-GDPR-DEMANDE

#2
Didjû de TR ! :P

Merci pour ce compte-rendu, plutôt étonnant pour l'affluence raisonnable, je crois que le parc était limite blindé les autres jours de ce looong week-end.

En somme tu as zappé deux crédits (certes davantage destinés aux enfants) ainsi que les spectacles. Et aussi la mad-house, tiens.
C'est drôle, je connais parfaitement la réputation de Goururix mais quand je l'ai fait, je n'ai pas trouvé ça si pire.

J'aime aussi le second degré et les clins d'oeil disséminés dans la théma, ça change des parcs qui se prennent trop au sérieux. :) Sinon ça fait plaisir de lire que le parc est toujours très bien entretenu et que les opérateurs sont sympathiques. Que le Parc Astérix continue sur sa lancée, c'est tout ce que je lui souhaite.

PS : pour le péage autoroutier... Tu as toujours l'option de prendre des routes gratuites, même si c'est bien moins rapide.
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loganleoni

Sympa trip report  :)

J'ai été entonné aussi par l'affluence en weekend mais apparemment c'était partout pareille... Blindé Jeudi & Vendredi et le weekend soft.

Après pour Oziris on est pas tout à fait d'accord  :D

Bon ok la théma est jolie c'est indéniable ! MAIS pour moi il est n'est vraiment pas intense du tout et ce du lift au frein finaux... Bon tu n'as pas sur-vendu l'intensité du coaster ce n'est pas ça que je veux dire, mais quand tu dis "BAM, second Zero-g bien intense" bah j'ai du mal à m'y retrouver...

Je l'ai fait en Front Row aussi et je ne sais pas si c'est du au fait que j'ai déjà Black Mamba, Monster & Batman la Fuga à mon actif qui fait pencher mon jugement...

Je trouve les 3 cité juste avant TRÈS intense et Oziris ma semblé mous  :o après ce n'est que mon avis hein  ;)
Sinon merci pour ce joli compte rendu  :P
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raziel188

Merci pour les compliments :)

@Mario25
Je ne connais pas ta situation, et tes disponibilités, mais je pense que :

  • il ne faut pas se refuser une visite uniquement parce que le prix est un peu plus élevé que la "moyenne Européenne" point de vue rapport quantité (et qualité)/prix,
  • attendre l'été augmente le risque de te retrouver face à un parc blindé, ce qui n'aide généralement pas à apprécier un parc que l'on (re)découvre

Mais bon à nouveau, c'est juste des idées et tu feras les bons choix en fonction de tes disponibilités et budget ;)

@Nikolas
Heh, tant qu'il y a des motivés à lire mes TR tartines, je continuerais :p Et puis j'essaie de mettre de plus en plus de photos (mais j'aime (d)écrire l'aventure, je dois l'admettre) ;)
Effectivement, on a zappé les coasters familiaux. Je ne suis pas du genre à courir après les crédits (et je n'ai rien conter ceux qui le font), mais je n'ai pas non plus de préjugés à faire des coasters moins orientés sensations. "Malheureusement", mes potes sont un peu plus strictes à ce niveau, et ne jurent que par les grosses machines qui en imposent ou que je vends comme "truc-de-fou-qui-déchire-sa-race" (j'les ai pas très bien élevés finalement :p). J'en veux pour preuve qu'à EP, j'ai du un peu faire le forcing pour tester Arthur et Pegasus.

C'est un peu le même topos pour les spectacles, mais je ne suis pas spécialement intéressé à la base non plus, donc ça n'aide pas !
Juste pour l'expérience, j'essaierai d'en proposer un pour voir leur réaction :p

Pour les péages, c'est clairement un faux problème lié aux approches française et belge du financement du réseau autoroutier (et le modèle français a plus de sens que le notre, où ce sont les Belges qui paient pour tous les étrangers sur nos routes). Effectivement on peut passer par le réseau secondaire, mais ce qu'on pense gagner en pognon, on le perd en temps, et en consommation (donc pognon aussi).
Maintenant j'en arrive à me demander pourquoi j'en ai parlé dans le TR :p

@loganleoni
Je suis d'accord avec toi sur le fait qu'Oziris est faible vis-à-vis d'autres Inverted B&M, mais si j'ai des clones B:TR (Madrid, SFMM, SFGAdv) et Raptor (CP) dans mon historique, le dernier en date remonte à il y a un peu moins de 5 ans, donc les souvenirs ne sont plus tout frais ! Et je vais découvrir Black Mamba cette année si tout va bien.
Pour le second Zero-g, c'est surtout par rapport au premier qui se fait - je trouve - lentement.

'Fin bon, les gouts, les couleurs et les sensations, c'est chacun son truc comme tu dis ;)
 
           
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