[TWDC] Michael Eisner (l'après AG)

Démarré par Francois -ParkFunWorld-, 04 Mars 2004, 00:55:16

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zootv

eisner,attention à la tete :D  :lol:

vu comment il est pas aimé, il ferai mieux de partir....
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Clement

Citationon a déja pu apprecier tes talents de "spécialiste financier américain", quand tu me disais que pdg et président du CA c'était la meme chose.

Un PDG est à la fois directeur général et président du CA.

Aux USA, ils utilisent 2 termes bien distincts :

CEO : qui en français se traduit par DG (Directeur Général).
Chairman : qui en français siginifie Président (du CA).

Avant Eisner était CEO & Chairman : ce qui se traduit par PDG en français.
Maintenant, il est CEO seulement : DG en français.


CitationLe PDG est nommé par le Conseil d'Administration qui peuvent décider d'interrompre son contrat (comme un joueur de foot pour faire simple)
donc RIEN ne nous dit aujourd'hui qu'eisner restera.

2 raisons simples qui font qu'il restera :

1) le CA est avec lui (Mitchell est à Eisner ce que Gold est à Roy)
2) la prime de licenciement d'Eisner et les primes de rupture de contrat (on peut assimiler ça au golden parachute) seraient alors faramineuses.


CitationLe ton de ton message est bizarre, je n'est tjs pas compris : es-tu de la famille d'eisner pour réagir comme ça ?

en tout cas, tu ne peut pas etre fan de disney !

Je n'aime tout simplement pas Roy Disney (surtout sa manière de conspirer) et je considère qu'Eisner a jusque là fait sont boulot.


Par contre tu ne me réponds pas pour Rasulo, qu'est-ce que tu lui reproches depuis qu'il est à la tete de Parks & Resorts ?
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grandmath

Eisner pourrait aussi démissionner de lui-même sauf qu'il ne le fera pas. Il a annoncé après l'AG qu'il ne comptait pas quitter ses fonctions avant 2006.

Perso, je pense comme Clément, il restera en place, surtout si les résultats financiers à suivre se maintiennent à la hausse. Enfin bon, on verra...
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Francois -ParkFunWorld-

Des news, il y a une floppée d'articles sur Boursorama et voici celui qui résume le mieux la situation de ces 3 derniers jours:

CitationDisney: la direction forcée d'envisager un successeur au PDG Eisner   

Si Michael Eisner entend s'accrocher à son poste de PDG du groupe Walt Disney, le conseil d'administration se retrouve malgré tout forcé d'envisager sa succession à moyen terme après le cinglant désaveu infligé cette semaine par les actionnaires.

"Il est temps maintenant de dire au revoir", titre ce week-end une analyse de l'hebdomadaire Business Week, estimant que "la première priorité" des administrateurs doit désormais être de fixer une date-limite pour le départ d'Eisner, et d'oeuvrer au recrutement de son successeur.

Selon la plupart des analystes, le CA et son nouveau président George Mitchell devraient se laisser jusqu'à l'été au moins pour bâtir ce plan de succession, une transition trop rapide risquant de fragiliser davantage une entreprise ciblée par une tentative d'OPA hostile de Comcast.

Sur la deuxième interrogation, celle du "qui après Eisner?", les médias américains spéculent déjà depuis mercredi.

Ce jour-là à Philadelphie (est), un vote de défiance de 43% des actionnaires a valu au PDG de se voir retirer dans la foulée la présidence du conseil d'administration. Ce qui n'a pas calmé les plus virulents des dissidents, appelant au départ "immédiat" d'un Eisner "vertement sanctionné".

Pour prendre sa succession, plusieurs noms circulent dans les médias: ceux de Peter Chernin, le bras droit du magnat Rupert Murdoch chez News Corp., ou de Jeffrey Bewkes, le grand patron du divertissement et des réseaux de Time Warner.

Mel Karmazin, le PDG d'un autre géant des médias, Viacom, a déjà décliné la proposition qui lui était rapportée, tandis que le numéro deux de Disney, Robert Iger, n'aurait vraisemblablement pas grâce aux yeux des partisans d'un vrai renouveau.

Sans livrer de nom, Stanley Gold, meneur de l'insurrection anti-Eisner avec l'héritier Roy Disney, a affirmé cette semaine avoir recensé "entre cinq et dix candidats" potentiels à la succession. Ces personnes sont liées actuellement à un employeur, a-t-il précisé.

Interrogé vendredi dans le Wall Street Journal, Michael Eisner, dont le contrat de PDG expire en septembre 2006, a déclaré ne pas vouloir céder aux appels à la démission, pourtant relayés par d'influents fonds de retraite comme ceux des employés de Californie (Calpers) et de l'Etat de New York.

"Ma conclusion est que nous avons fait ce qu'il y avait à faire pour les actionnaires", a-t-il dit.

Une affirmation nuancée dans le même journal par George Mitchell, nouveau président du conseil d'administration. "Rien n'est définitif, nous allons rester en permanence aux aguets", a déclaré en substance celui qui est déjà très contesté pour sa trop grande proximité avec Eisner.

Les mérites de la direction actuelle en termes de résultats financiers auront aussi de l'influence dans le processus de transition aux plus hautes fonctions de la Walt Disney Company.

Si les sociétés de conseil aux investisseurs Glass Lewis et ISS insistent sur les performances décevantes de la télévision ABC au regard de ce que son rachat a coûté à Disney en 1996, d'autres soulignent que le groupe est en train de consolider son redressement global après deux pénibles années.

Dans les parcs Disney, à l'approche des vacances de printemps et d'été, "les pré-réservations sont actuellement en hausse de 19%" sur un an, a indiqué Jordan Rohan, de la maison de courtage Schwab Soundview Capital Markets.

Il a ajouté que le trimestre de mars devrait être dopé par la sortie mondiale en DVD du "Monde de Nemo", le dernier né de la collaboration avec Pixar qui vient de recevoir un Oscar.

Quant à l'action Disney, elle a perdu environ 1% depuis le vote anti-Eisner. Mais à 26,48 dollars vendredi en clôture à New York, elle conserve des niveaux inconnus depuis fin août 2001.

Source: AFP - 6 mars 2004

Autres articles:

CitationDisney - Les dissidents protestent contre le maintien d'Eisner  
 
LOS ANGELES, 4 mars (Reuters) - Roy Disney et Stanley Gold, anciens administrateurs de Walt Disney < WALT DISNEY COMPANY(THE) > à la pointe d'une campagne contre Michael Eisner, ont estimé jeudi que la décision du conseil d'administration de lui laisser la direction générale du groupe constituait "un rejet évident de la volonté des actionnaires".

Lors de l'assemblée générale de Disney de mercredi, les actionnaires représentant 43% du capital ont voté contre Eisner. Le conseil d'administration a donc décidé de lui retirer le titre de président et d'élire George Mitchell, ancien administrateur de Disney, à ce poste.

Laisser Eisner à la tête de Disney constitue également "une trahison de la confiance et un important pas en arrière pour une réforme significative des marchés des capitaux d'Amérique"./CA

Source: Reuters - 5 mars 2004


CitationDisney - La demi-éviction d'Eisner ne calme pas ses détracteurs   
 
NEW YORK, 4 mars (Reuters) - L'éviction de Michael Eisner de la présidence de Walt Disney < WALT DISNEY COMPANY(THE) > paraît peu susceptible de calmer ses détracteurs, dont certains n'hésitaient pas jeudi à la qualifier de poudre aux yeux. A Wall Street, le titre Disney réagissait par une légère hausse. Vers 17h00 GMT, il affichait un gain de 0,79%, alors que l'indice Dow Jones < DOW INDUSTRIALS > s'effritait de 0,11%.

En réponse aux protestations sans précédent des actionnaires, le groupe Disney a dissocié mercredi les fonctions de président et de directeur général. Eisner conserve cette dernière, mais son fauteuil de président du conseil d'administration a été attribué à l'ancien sénateur George Mitchell. Or, si celui-ci est respecté pour sa carrière politique, il n'a aucune expérience directe de la direction d'un groupe de médias.

"Je ne peux pas imaginer qu'un directeur général ayant réuni contre lui 43% des voix des actionnaires soit toujours en fonction le lendemain matin", commentait jeudi l'analyste Richard Greenfield (Fulcrum Global Partners). "On pouvait penser qu'il aurait été question de l'écarter purement et simplement de la société."

Lors de l'assemblée générale tenue mercredi à Philadelphie, 43% des actionnaires ont refusé leur soutien à Eisner en tant qu'administrateur, et 24% ont estimé que Mitchell ne devait pas être réélu au conseil d'administration.

"Je ne pense pas qu'on puisse percevoir cela comme autre chose qu'un changement de dénomination", estimait l'analyste Paul Kim (Tradition Asiel Securities).

Richard Greenfield remarquait que par rapport aux présidents d'autres géants des médias tels que Rupert Murdoch (News Corp.), Dick Parsons (Time Warner) et Sumner Redstone (Viacom), George Mitchell ne paraissait pas à sa place.

"C'est à l'évidence un politicien reconnu", déclarait-il. "Mais si, lors d'une conférence d'investisseurs, on a affaire à une commission regroupant Murdoch, Parsons, Redstone et George Mitchell, on se dira forcément : 'Cherchez l'intrus.'"

"Il faut que quelqu'un m'explique ce que Mitchell apporte. Et si on ne peut pas répondre à cette question, on se demande forcément si cette décision n'était pas de la poudre aux yeux." /SEW

Source: Reuters - 4 mars 2004


CitationWalt Disney: réduction des pouvoirs de Michael Eisner.   

(Cercle Finance) - L'action Walt Disney a débuté la séance de jeudi en légère hausse de 0,1% à 26,6 USD, les opérateurs se montrant à moitié convaincus par les mesures que le conseil d'administration a adoptées hier. Appelés à se prononcer mercredi sur le renouvellement de Michael Eisner au poste de président du conseil d'administration et Pdg de Walt Disney, les actionnaires ont voté à 43% contre Michael Eisner. Sous la pression des actionnaires, le conseil d'administration de Walt Disney a donc finalement décidé de cantonner les fonctions de Michael Eisner à celles de directeur générale du groupe, le sénateur George Mitchell étant nommé 'chairman'.

Faisant l'objet d'une offre non sollicitée de 54Mds de dollars lancée par le cablo-opérateur Comcast, le conseil d'administration a par ailleurs fait le point sur sa stratégie et les critiques associées. Le conseil d'administration a ains clairement affirmé qu'il n'estimait pas que l'offre de Comcast soit dans l'intérêt des actionnaires de Walt Disney. Le conseil a toutefois indiqué qu'il étudierait et analyserait avec soin toute proposition raisonnable.

Source: Cercle Finance - 4 mars 2004


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L'actualité mondiale des parcs d'attractions, c'est sur NewsParcs:



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nicowebman

CitationPar contre tu ne me réponds pas pour Rasulo, qu'est-ce que tu lui reproches depuis qu'il est à la tete de Parks & Resorts ?

ba tout simplement que raysulo est un pion d'eisner, qu'il a soutenu l'ouverture merdique des wds, alors qu'il était pdg et que son principal job aurait été d'anticiper que ce parc, avec son contenu, allé etre un échec.

Et puis, arretes, tu me fait trop rire :

CitationJe ne vois pas où est le problème avec Rasulo, depuis un an qu'il est à la tete de Parks & Resorts, les projets se multiplient pour les parcs appartennant à TWDC (DL et WDW).

lesquels, ou plutot lequel ????

Alors reprenons :

Expedition Everest (wdw) = projet lanc" avant son arrivée,
Mickey philarmagic (wdw) = idem,
ToT (dca) = idem,
Stitch Escape (wdw) = idem,
Stunt Show Spectacular (wdw) = idem

peut etre celui là alors : Soaring Over California, mais bon, c'est une attraction clone...
mais si ! notre fabuleuse air de jeux qui va relancer complétement les visites des wds !!!! suis-je bete ! :laughing:

non mais sérieux, qu'est ce qu'il a fait raysulo à part nous foutre dans la m**** et suivre les ordres de son mentor eisner ?

En fait, raysulo à été placé à paris dans l'attente d'une promotion. Comme un chef de rayon de chez carrefour qui devrait allé travaillé à l'ouverture d'un hypermarché en pologne avant de revenir avec une belle promo.

Rien de plus.
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TheOneWhoKnew

Oui en fait c'etait pour lui un bain linguistique, pour apprendre le francais pour pas cher. :-)
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supermax

Et encore!! Je suis sûr qu'il ne sait pas plus parler Français que quand il est arriver à DLRP!!
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Clement

Alors là Nicowebman, tu as tout faux !

Rasulo dirige Parks & Resort depuis maintenant + d'un an (puisqu'au début il cumulait avec DLRP), une attraction est donnée "greenlight" quand elle est révélée de manière officielle et donc enterinée par Parks & Resort.

Expedition Everest : avril 2003 (déjà sous Rasulo)
Moteurs Action : octobre 2003
Soarin' : Octobre 2003
Stitch Escape : Octobre 2003
Buzz (DL) : Février 2004
Célébrités des 50ans : mai 2004 (les projets sont en cours de finalisation.

Par contre effectivement, la TOT et Philarmagic datent de Pressler (je n'ai jamais dit le contraire).

En 1 an, il a quand même lancé énormément de gros projets (3 E-tickets et 2 grosses D-Tickets) comparé à ce qu'a fait Pressler !!

Chaque parc de WDW va se voir doté d'une grosse nouveauté et DL va égallement avoir une nouvelle attraction et de superbes festivitées.

Et pour ceux qui seraient tentés de dire "et DLRP", je leur rapelle que DLRP n'est pas un parc TWDC.

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supermax

il y a quand même de nombreux projets où les travaux commence avant l'annonce officiel!!
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Clement

Pour tous les projets cités, les travaux ont commencés après l'arrivée de Rasulo.

Citationqu'il a soutenu l'ouverture merdique des wds, alors qu'il était pdg et que son principal job aurait été d'anticiper que ce parc, avec son contenu, allé etre un échec.

Les WDS ont été lancés par le prédescesseur de Rasulo, Gilles Pélisson !!

Rasulo a essayé d'améliorer avec les moyens disponibles (Reign of Fire, Tapis Volants, Cyberspace qui n'était pas prévus dans le projet original).
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