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[Vasile]

BRAVO POUR LA TOT!!!


MAIS SI Y A QUE SA.....ILS VONT PAS ALLER LOIN!

C'est pas avec une Tot et Wishes que l'on redresse un Resort endetter à mort....  

[Walaï]

Avec une bonne file d'attente de 2h mini et un parc qui ferme à 18h, une journée doit pouvoir se remplir.
Si big attraction il y a, ça veut dire articles dans la presse, retour de "curieux", de visiteurs lointains... et un symbole pour le Parc qui a se jour n'en a pas. Je veux bien croire à un effet positif sur plusieurs mois (j'entends plus d'un an de "boost"). Et peut-être le retour d'un billet d'entré indépendant (pure spéculation personnelle).
Mais bon, une ToT, ça prend combien de temps à voir le jour entre le premier coup de pioche et l'ouverture?

Y'a encore du chemin, mais ce n'est pas un cul-de-sac et c'est déjà ça!

[Vasile]

normalement c'est 2 ans. si mes souvenirs sont bons.  

[Joachim]

Le Journal des Finances

09:27     25/08/2004   
     
[span style=\'font-size:25pt;line-height:100%\']Eurodisney : une nouvelle attraction[/span]

Une partie du produit issue d'une augmentation de capital et initialement destinée à la restructuration du groupe va être utilisé pour la construction d'une nouvelle attraction. « La Tour Infernale » sera construite dans le second parc, Walt Disney Studios.

Copyright AG Presse

[fredddys]

Oui, c'est deux ans de travaux et comme, visiblement, rien ne commencera avant la fin des négos, ce sera pas avant 2007. A mon avis, c'est peut-être pour ça qu'il voudraient accéléré la fermeture du Visionarium afin d'ouvrir Buzz en 2006, un an avant. Mais bon, qui vivra verra...

[john]

oui moi aussi je pense comme fredddys que buzz est prévu à la place du visionarium parce que le parc a besoin rapidement d'une nouvelle attraction
( pour le parc disneyland je pense que un dark ride suffirait à ramener la fréquentation à un taux normal ( l'avant WDS ) ... au moins durant un an !! )
Puis une grosse attraction l'année suivante pour les studios pour booster le nombre de visiteurs !!

[Francois -ParkFunWorld-]

A voir, Reuters ou pas Reuters, sans confirmation d'Euro Disney SCA, ceci n'est que du vent...

Article intéressant:

LE PARC A-T-IL LES MOYENS DE S'OFFRIR UNE "TOUR DE LA TERREUR ?

Au bord de l'asphyxie financière, Mickey cherche désespérément de l'oxygène. Alors que les négociations avec ses créanciers se poursuivent avant l'ultimatum fixé au 30 septembre, Euro Disney réfléchit à la construction d'une nouvelle attraction d'envergure. La première depuis 1995 et le lancement, réussi, de Space Mountain qui avait alors dopé les entrées.

Son nom ? La " Tour de la terreur ", dont un modèle existe déjà à Disney World en Floride. Selon une source proche du dossier citée par Reuters, le parc d'attractions pourrait consacrer 150 millions d'euros à cet investissement. Soit les deux tiers du montant de l'augmentation de capital prévue dans le cadre du plan de restructuration financière. Une solution de secours serait envisagée avec la construction de trois attractions plus petites. Le groupe n'a pas commenté ces informations.

Homme de marketing, arrivé à la tête d'Euro Disney en mars 2003, André Lacroix compterait ainsi mettre fin à l'érosion de la fréquentation du parc et de celle de son petit frère consacré au cinéma. Après neuf mois d'exercice 2003-2004, le chiffre d'affaires du groupe a baissé de 1% à 740,4 millions d'euros. Les recettes des deux parcs ont bien progressé de 4% mais seulement grâce à une augmentation des dépenses moyennes des visiteurs. Plus récemment, les syndicats ont fait circuler des chiffres encore plus inquiétants. La fréquentation de cet été serait inférieure de 5% à 10% aux objectifs, 40.000 visiteurs quotidiens attendus pour le grand parc, 10.000 pour les studios. La météo capricieuse de cet été n'a certainement pas aidé les affaires de Mickey.

La " Tour de la terreur " fera-t-elle revenir les touristes ? Peut-être. Sauvera-t-elle Euro Disney ? Pas sûr. D'autant que le financement même de la construction relève du défi. Avec des fonds propres négatifs de 176 millions d'euros au 31 mars dernier, le groupe doit parer au plus pressé. Même en levant 250 millions d'euros, le groupe ne disposerait que de 74 millions d'euros de capitaux propres avant les nouvelles pertes attendues pour cette année. Pas de quoi financer une nouvelle attraction car on voit mal les créanciers, comme la Caisse des dépôts, remettre la main à la poche alors qu'un accord sur la restructuration de la dette n'a pas encore été finalisé. A moins que Disney, la maison-mère américaine, ne vole une nouvelle fois au secours du cousin européen.

Pour certains, si le projet est confirmé il pourrait s'agir d'une fuite en avant. D'ailleurs, le marché ne semble pas véritablement emballé par une éventuelle " Tour de la terreur ". Le titre stagne à 26 centimes depuis ce matin, tout proche de son plus bas historique à 21 centimes.

Source: Investir.fr?

[keskonrix]

Ca se confirme ca se confirme cette tour que tout le monde attendait depuis pres de deux ans et demie ne devrait plus tarder (je ne pense pas qu'elle sera le symabole du parc mais toujours l'eirfel Tower !). Sinon , c'est sur qu'avec trois petites attractions ca aurait été mieux, maius c'est pareil 150 millions ca ame parait cher !  

[Vasile]

si y a que la ToT et un boulevard....

faut etre honnete sera bien, mais pas super non plus. Disneyland Park aura Buzz soit disant mais c'est pas assez.  

[keskonrix]

Un autre article de investir.fr

25-08-2004 - 12h23
LE PARC A-T-IL LES MOYENS DE S'OFFRIR UNE "TOUR DE LA TERREUR"?

Au bord de l'asphyxie financière, Mickey cherche désespérément de l'oxygène. Alors que les négociations avec ses créanciers se poursuivent avant l'ultimatum fixé au 30 septembre, Euro Disney réfléchit à la construction d'une nouvelle attraction d'envergure. La première depuis 1995 et le lancement, réussi, de Space Mountain qui avait alors dopé les entrées.

Son nom ? La " Tour de la terreur ", dont un modèle existe déjà à Disney World en Floride. Selon une source proche du dossier citée par Reuters, le parc d'attractions pourrait consacrer 150 millions d'euros à cet investissement. Soit les deux tiers du montant de l'augmentation de capital prévue dans le cadre du plan de restructuration financière. Une solution de secours serait envisagée avec la construction de trois attractions plus petites. Le groupe n'a pas commenté ces informations.

Homme de marketing, arrivé à la tête d'Euro Disney en mars 2003, André Lacroix compterait ainsi mettre fin à l'érosion de la fréquentation du parc et de celle de son petit frère consacré au cinéma. Après neuf mois d'exercice 2003-2004, le chiffre d'affaires du groupe a baissé de 1% à 740,4 millions d'euros. Les recettes des deux parcs ont bien progressé de 4% mais seulement grâce à une augmentation des dépenses moyennes des visiteurs. Plus récemment, les syndicats ont fait circuler des chiffres encore plus inquiétants. La fréquentation de cet été serait inférieure de 5% à 10% aux objectifs, 40.000 visiteurs quotidiens attendus pour le grand parc, 10.000 pour les studios. La météo capricieuse de cet été n'a certainement pas aidé les affaires de Mickey.

La " Tour de la terreur " fera-t-elle revenir les touristes ? Peut-être. Sauvera-t-elle Euro Disney ? Pas sûr. D'autant que le financement même de la construction relève du défi. Avec des fonds propres négatifs de 176 millions d'euros au 31 mars dernier, le groupe doit parer au plus pressé. Même en levant 250 millions d'euros, le groupe ne disposerait que de 74 millions d'euros de capitaux propres avant les nouvelles pertes attendues pour cette année. Pas de quoi financer une nouvelle attraction car on voit mal les créanciers, comme la Caisse des dépôts, remettre la main à la poche alors qu'un accord sur la restructuration de la dette n'a pas encore été finalisé. A moins que Disney, la maison-mère américaine, ne vole une nouvelle fois au secours du cousin européen.

Pour certains, si le projet est confirmé il pourrait s'agir d'une fuite en avant. D'ailleurs, le marché ne semble pas véritablement emballé par une éventuelle " Tour de la terreur ". Le titre stagne à 26 centimes depuis ce matin, tout proche de son plus bas historique à 21 centimes.