Echec pour les concepteurs du projet, ceux qui ont imaginé le plan financier.
Les dépenses sont là, les prêts et les remboursements aussi... Comment ils vont faire avec des coûts qui ont augmenté et des rentrées qui ne correspondent pas à leurs prévisions ?
Le public en veut plus, mais au même prix. Pour cela, la seule variable sur laquelle on peut jouer c'est l'affluence.
Là c'est dommage, car Shambhala avait très bien réussi, avec une notoriété européenne.
Quant à la séparation de Ferrari Land, non, vu qu'il fait partie de PortAventura World. Ferrari intervient pour les licences, avec certainement un pourcentage sur le chiffre d'affaire du parc et sur les ventes de produits Ferrari.